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S’il y a bien une chose que j’apprécie dans la vie, c’est m’acheter un nouveau livre… entrer dans une librairie, en faire le tour, ouvrir les livres pour sentir l’odeur de leurs pages, lire le résumé, faire encore le tour et, enfin – si le cœur y est –, choisir un bouquin digne de faire partie de ma collection qui prend trop de place chez moi!
Comme toute bonne visite dans une librairie, je ne loupe jamais l’occasion de visiter la section des BD. Je pars alors à la recherche de la bande dessinée perdue. Je fouille et farfouille jusqu’à dégoter une histoire bouleversante accompagnée de dessins vibrants. Enfin, je trouve cette BD – celle qui, le temps de ma lecture, me fera voyager et vivre dans l’instant présent.
Parmi les petits joyaux qui font partie de ma collection, j’ai fait une sélection des BD qui, pour des raisons différentes, m’ont marquée.
Au moins trois fois… Non quatre en fait. Oui, j’ai dû relire cette œuvre quatre fois. Facilement. Je me souviens; j’avais trouvé cette BD à Vancouver et j’en étais aussitôt tombée amoureuse. Quand je me plonge dans cette histoire, j’ai l’impression de lire le storyboard d’un film tellement les dessins sont poignants et détaillés.
Ayant perdu son fils, Regina Segal retourne à Varsovie avec sa petite-fille Mica dans l’espoir de recouvrer l’héritage de sa famille qui avait été perdue pendant la Seconde Guerre mondiale. Rien ne peut guérir la perte d'un enfant. Malgré les malentendus, les querelles familiales et les peines partagées, la résilience et l'amour resteront toujours au cœur même de la famille.
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J’avais reçu cette collection en cadeau et quand je me suis mise à lire le premier tome, je n’ai pu m’arrêter qu’à la dernière page du troisième. Cette série, c’est une vraie aventure rocambolesque qui nous transporte à travers les plaisirs et les tourments de la vie.
On y retrouve deux meilleurs amis, Jasmin et Jean-Sébastien, qui, bien souvent, discutent de tout et de rien; les amis, la famille, les études, le travail – autant de sujets plus ou moins banals, abordés avec un humour touchant. Oh! Et, bien sûr, il y a toujours l’ostie d’chat pour venir les ressouder lorsque l’amitié traîne de la patte!
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En survolant le rayon des bandes dessinées, j’ai mis la main sur cette perle. Je voulais revisiter l’histoire des sorcières de Salem et je n’ai pas été déçue! À quel point la folie peut-elle déformer la réalité? Au fil de l’histoire, la démence déteint sur les personnages, mais aussi sur les illustrations dans lesquelles les couleurs et les visages se désagrègent progressivement.
À travers le regard d’Abigail Hobbs, on découvre l’histoire des filles de Salem. Alors que la jeune fille sort de la période de l’enfance, le village commence à changer. Tout n’est plus pareil et bientôt, tous en veulent à Abigail et à d’autres jeunes femmes du village. Qu’ont-elles fait pour mériter de tels affronts?
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En voyant L’affaire Delorme qui reposait fièrement sur une étagère de la librairie, je me suis dit : pourquoi pas? Quand on me propose d’en apprendre un peu plus sur l’Histoire du Québec, je ne dis pas non et encore moins lorsqu’il s’agit de découvrir l’histoire à travers les illustrations d'artistes chevronnés!
Le 7 janvier 1922, le corps de Raoul Delorme, jeune étudiant de 24 ans, est découvert à Notre-Dame-de-Grâce. Le policier Georges Farah-Lajoie mène l’enquête. Après avoir visité Adélard, le frère aîné déshérité par leur père, tout porte à croire que celui-ci, louche et bien trop nerveux, cache quelque chose. Malheureusement, un détail empêche l’enquête d’avancer comme elle devrait… Adélard est prêtre ce qui oppose Georges Farah-Lajoie au clergé catholique.
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Un univers fantastique. Voilà de quoi j’avais envie cette journée-là quand je survolais l’ensemble des bandes dessinées. En apercevant celle-ci, j’ai aussitôt été prise d’une envie de voyager sur un voilier, de déposer mes pieds dans le sable et de regarder la mer à perte de vue…
Je pense que, pour vous décrire l’histoire de cette BD, rien ne vaut le résumé de celle-ci. Je vous la cite :
« Je m’appelle Abel. Abel Reynold Stevenson. Ex-capitaine de vaisseau de la marine. Je suis un voleur. Un assassin. Un traître. Et je suis mort. »
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En espérant que mes suggestions vous auront donné envie de lire plus de bandes dessinées!
Un texte dee Romane Tremblay, journaliste stagiaire chez Patwhite.com